Ordinateur personnel, environnement de travail de l’utilisateur

, par Christine Lassiette

 Composants matériels d’un ordinateur personnel

L’ordinateur est un ensemble de composants électroniques qui a donc besoin d’électricité pour fonctionner. Les données seront transformées en une suite d’éléments binaires (bit ou binary digit) pour être comprises par l’ordinateur.

Son rôle étant de « remplacer » l’individu ou tout au moins de le seconder, il a, tout comme lui, un certain nombre de fonctions vitales de base. Il doit savoir :

  • écouter (organes d’entrée)
  • raisonner (unité de traitement)
  • répondre (organes de sortie) -> restitue (périphériques de sortie : affichage et impression)
  • se souvenir (mémoire) -> sauvegarde et archivage (périphériques E/S).

Son indéniable avantage, en comparaison de l’être humain, est qu’il est capable de faire tout cela une multitude de fois (à l’infini), très rapidement et sans s’essouffler (!!).

Pour chacune de ces fonctions vitales, il requiert des composants techniques comparables à des organes vitaux (stockés dans un boitier et principalement sur un support appelé carte mère).

Sur le schéma suivant, à chaque fonction vitale de l’être humain un certain nombre d’organes sont associés à un composant matériel de l’ordinateur.

Mais reprenons ces fonctions vitales une par une :

  1. Tout d’abord, la fonction d’écoute (INTRODUCTION). Bien qu’il existe maintenant des outils de synthèse vocale ou des écrans tactiles, le principal moyen de transmettre des données à l’ordinateur reste la saisie clavier. Mais un ordinateur peut aussi réagir à un clic de souris ou un contact sur un écran tactile.
  1. Une fois l’information reçue, il faut la traiter et c’est là probablement la partie la plus abstraite à aborder (TRAITEMENT). Notre cerveau nous permet de raisonner, l’ordinateur utilisera lui un processeur. Pour optimiser son travail, le cerveau utilise deux types de mémoire : la mémoire instantanée (mémoire vive pour l’ordinateur) et la mémoire enfouie (espace de stockage de l’ordinateur : disque dur par exemple).
    Mais il existe une autre mémoire. Dans tous les cours qui traitent de la mémoire centrale d’un ordinateur, on aborde aussi la notion de mémoire morte. Cette mémoire contient un certain nombre de programmes qui sont principalement des programmes transmis par le fabricant. On pourrait donc dire aussi que la mémoire morte correspond aux gènes d’un être humain.
    Cette mémoire, bien que précieuse, ne doit pas être manipulée par un néophyte au risque de ne pouvoir redémarrer la machine par la suite.
  1. L’être humain, une fois qu’il a bien réfléchi, cherche toujours à communiquer le fruit de sa réflexion, soit en l’écrivant ou en la transmettant oralement (RESTITUTION). L’ordinateur lui, pour restituer l’information, dispose d’équipements périphériques de sortie comme imprimante, écran ou plus spécifiquement les robots, les traceurs etc….
  1. Tout travail intellectuel mérite d’être mémorisé (MEMORISATION) pour servir à d’autres usages futurs….l’ordinateur bénéficie d’espaces de stockage comme les disques durs, les CD, les DVD etc…

Pour qu’un être humain vive (le mieux possible !), il faut que toutes ses fonctions vitales communiquent entre elles. Cette communication se réalise d’une part par les vaisseaux sanguins, d’autre part par notre système nerveux. L’ordinateur lui a besoin de courant électrique et la transmission de ces signaux électriques se fait par les bus.

Il n’existe pas de configuration (d’assemblage) idéale pour un ordinateur. Il faut associer les composants entre eux de façon harmonieuse en tenant compte de leurs caractéristiques respectives et des tâches que l’on souhaite lui faire accomplir.

Cliquez sur l’image pour l’agrandir

 Disque dur

Nous aimons conserver des tas de choses…ça peut toujours servir !....

L’ordinateur aussi aime avoir sous la main tout ce qui pourrait lui être utile. Pour cela, un espace de stockage est prévu dans le boitier. Dès que l’ordinateur aura besoin de quelque chose, il ira chercher dans ce lieu de stockage en priorité. Cet espace s’appelle un disque dur interne.

Il est donc nécessaire pour chaque ordinateur de disposer au minimum d’un disque dur interne sur lequel seront stockées des données vitales pour son fonctionnement et d’autres choisies par l’utilisateur.

Pour qu’un ordinateur fonctionne, il faut que le disque dur possède au minimum un système d’exploitation et les logiciels utilisés couramment par l’utilisateur (voir composants logiciels).

Il est possible de mettre plusieurs disques durs internes dans un boitier, si ce dernier le supporte. On peut également augmenter l’espace de stockage en lui adjoignant un ou des disques durs externes ou tout autre support externe spécifique.

Le disque dur dans le boitier sera relié à la carte mère par des câbles appelés nappes.

Si nous ouvrons le boitier de l’ordinateur, nous ne voyons qu’un caisson scellé qui renferme en fait plusieurs disques superposés. Dès que l’on allume l’ordinateur, les disques tournent de façon continue et les informations numériques (champs magnétiques) sont lues et écrites grâce à des têtes (électro-aimants) fixées sur un bras de levier.

Un disque dur se caractérise principalement par :

  • son format (sa taille)
  • sa capacité de stockage exprimée en Go, voir To,
  • sa vitesse de rotation qui déterminera la vitesse d’échanges de données entre le disque et la carte mère
  • son interface (sa connectique).

Quelques liens utiles ….

Pour plus d’informations techniques :

Petits tutoriels :

 Horloge

De même que le cœur régule la circulation sanguine dans le corps, l’horloge régule le travail du processeur.

Dès que le courant électrique passe, il lance le cycle des fréquences de l’horloge du microprocesseur.

A chaque battement de l’horloge interne, le microprocesseur va analyser et évaluer tout ce qu’il a autour de lui (les périphériques, les mouvements de la souris, les applications, les informations envoyées) et il va réagir en fonction de cela. Il va exécuter une action (instruction ou partie d’instruction).

Un indicateur, appelé CPI, donne le nombre moyen de cycles d’horloge nécessaire à l’exécution d’une instruction par le processeur.

On mesure la puissance d’un processeur par le nombre d’instructions qu’il traite par seconde. L’unité de mesure de cette puissance est le MIPS (fréquence du processeur/CPI).

 Composants logiciels d’un ordinateur

Un logiciel est un programme qui permet à un ordinateur de réaliser une tâche particulière.

Les logiciels sont stockés sur le disque dur de l’ordinateur pour être exécutés.

Logiciels ou progiciels ?

Tout d’abord, il faut distinguer les logiciels des progiciels.
Un logiciel est écrit pour répondre aux besoins spécifiques d’un client. Une fois que le logiciel est écrit, il appartient au client qui l’a commandé.
Un progiciel est un logiciel commercial vendu par un éditeur. Un progiciel est destiné à un public très large. Toute personne qui achète un progiciel, n’acquière en fait qu’un droit d’utilisation appelé licence.

Par abus de langage, tout programme est appelé logiciel.

Logiciels libres ou logiciels propriétaires ?

On parle également de logiciels libres et de logiciels dits propriétaires. Un logiciel libre est un logiciel dont la licence donne à chacun le droit d’utiliser, de modifier, de dupliquer le logiciel sans contrepartie.

Un logiciel propriétaire est distribué par un éditeur. Son droit d’utilisation est payant et n’autorise ni la modification du code, ni la vente du produit à un tiers, ni la duplication (sauf négociation préalable et écrite avec l’éditeur).

Familles de logiciels

Les logiciels sont classés par familles :

  • Les systèmes d’exploitation (premier logiciel à installer sur le disque dur et premier logiciel lancé lors de l’allumage de l’ordinateur, il est destiné à faciliter la tâche de l’utilisateur ; il s’occupera ainsi de gérer les échanges entre le disque et la mémoire lors de l’exécution des logiciels, surveillera l’état des différents périphériques, contrôlera l’accès aux fichiers, etc…..)

Exemple : Vista, Windows XP, Linux…

  • Les antivirus (logiciel indispensable dès lors que l’ordinateur communique avec l’extérieur par les réseaux ou par l’usage de périphériques externes tels que les clés USB ; ce logiciel doit être actif en permanence et faire l’objet de mises à jour régulières)
  • Les traitements de texte (logiciel d’aide à la rédaction et la présentation de documents)
  • Les tableurs (logiciel qui permet de réaliser automatiquement des calculs fastidieux et répétitifs et propose également de présenter les résultats sous forme de tableaux élaborés)
  • Les gestionnaires de bases de données (logiciel complexe qui permet de stocker des données sous forme structurée et de les exploiter ensuite par l’utilisation d’un langage de requête)
  • Les utilitaires de publication (logiciel d’aide à la rédaction et la publication)
  • Les navigateurs Internet (logiciel permettant de « surfer » sur la toile mais nécessite une connexion Internet)
  • Les logiciels de comptabilité (logiciel capable de reproduire toutes les opérations de comptabilité courantes)
  • Etc…..la liste est infinie !

Sans oublier les logiciels intégrés qui regroupent dans un même lot plusieurs logiciels différents…

Monoposte ou réseau ?

Un logiciel est monoposte lorsqu’il fonctionne sur un seul poste. Il est en réseau lorsqu’il est partagé sur différents postes et permet aux utilisateurs connectés de travailler sur une base commune.

La configuration logicielle minimale requise en gestion est composée d’un système d’exploitation, un antivirus, un traitement de texte, un tableur, un navigateur Internet si l’on dispose d’une connexion Internet.
Il faudra ensuite y ajouter les logiciels spécifiques pour nos besoins personnels.

Quelques liens utiles ….

 Bus

Un bus est un ensemble de lignes électriques permettant la transmission des signaux entre les différents composants de l’ordinateur.

Il existe deux catégories de bus : le bus système (bus interne) qui relie le processeur à la mémoire vive et le bus d’entrées/sorties (bus externe) qui permet les communications entre le microprocesseur et les connecteurs d’entrées/sorties.

La qualité d’un bus se mesure grâce à sa largeur (nombre de lignes du bus) et à la qualité de son contrôleur. En effet, il faut un contrôleur pour gérer les accès au bus et éviter les conflits.

Certains bus sont conçus pour de petits transferts de données, d’autres pour de gros transferts. Il n’y a pas qu’un bus sur une carte mère mais plusieurs. Ils sont tous interconnectés et les données peuvent aller de l’un à l’autre.

Quelques liens utiles …..
Pour en savoir un peu plus :

Quelques mots sur la largeur de bus :

 Moniteur

Pour communiquer avec l’utilisateur, le micro-ordinateur utilise l’écran. Or l’écran est probablement le composant que l’on garde le plus longtemps. Il est donc important de ne pas le choisir à la légère et de se pencher quelques instants sur les caractéristiques qui vous permettront de choisir en toute connaissance de cause.

Il existe à l’heure actuelle deux catégories de moniteur : les écrans LCD (écrans plats) et les écrans CRT (écrans cathodiques).

Il est conseillé d’investir dans un bon moniteur et une large surface d’affichage. Un écran LCD et une carte graphique de base conviennent à un usage courant. Joueurs et graphistes fous opteront pour des 19" à tube et des cartes vidéo très performantes.

Les écrans actuels utilisent le mode d’affichage SVGA (Super Video Graphic Array), avec une résolution pouvant atteindre 1600 X 1200 avec 16 millions de couleurs.

Ecran à tube ou écran cathodique ou CRT (Cathode Ray Tube) :
Sur ce type d’écran la taille inclut les bords du tube ; il convient d’enlever un ou deux pouces pour obtenir la diagonale visible. La définition idéale est de 1024 X 768 points (pixels) pour un 17« et de 1280 X 1024 pour un 19 ».
L’écran est d’autant plus performant que sa fréquence horizontale est élevée (85 KHz pour un 17") ; la stabilité de l’image dépend elle de la fréquence verticale (au minimum 70 Hz).
Pour votre confort visuel, votre écran doit répondre au minimum à la norme MPRII, voir TCO’95 ou encore mieux TCO’99.

ils sont lourds, encombrants et gourmands en énergie.

Ecrans LCD (Liquid Crystal Display) :
Ces écrans à cristaux liquides offrent une excellente qualité d’image à condition d’avoir un taux de rafraîchissement approchant les 25 ms, un angle de vue 160 ° ainsi qu’une bonne luminosité. Le top actuellement est représenté par les dalles exploitant la technologie MVA.
Concernant la résolution, les écrans 15« ne doivent pas dépasser 1024 X 768 et il vous faudra un écran 17 » ou 18" pour atteindre 1280 X 1024.
Une entrée DVI vous permettra de bénéficier d’une chaîne graphique entièrement numérique du PC à l’écran à condition que votre carte graphique possède une sortie DVI en plus de la sortie VGA habituelle.
De plus en plus d’écrans sont munis d’une prise vidéo autorisant la reproduction d’images à partir d’un caméscope ou d’un magnétoscope.

ils sont légers et commodes, mais dotés d’un moins bon rendu des couleurs et, pour certains modèles d’entrée de gamme, d’une rémanence parfois gênante pour les jeux très rapides ou les animations (films...)

Les écrans LCD que l’on trouve principalement sur les portables offrent des images d’excellente qualité quand ils exploitent la technologie à matrice active (TFT : Thin Film Transistor).

Quelques liens utiles……

Pour choisir son écran :

Petits tutoriels :

 Imprimante

Les imprimantes sont devenues le périphérique incontournable lors de l’achat d’un ordinateur.
Mais choisir la bonne catégorie d’imprimante nécessite de se poser un certain nombre de questions.

Voici un petit guide !

Mais tout d’abord, avant de parler de catégories, un petit point sur quelques caractéristiques communes :

  • la qualité d’impression : elle se mesure par le nombre de points (pixels) par pouce qui traduiront la précision de l’impression (on parle de résolution et le minimum actuel doit dépasser 600X600 dpi ou ppi).
  • la vitesse d’impression (nombre de pages émises par minute) : il est raisonnable de demander un minimum de 6 ppm.
  • l’interface (type de connexion avec le PC) : opter plutôt pour une imprimante proposant plusieurs types de connexion (parallèle, USB).

Ensuite, il va rester le choix entre une imprimante laser ou jet d’encre…

  • laser : son fonctionnement est similaire à celui d’un photocopieur ; un rayon laser guidé par un miroir rotatif vient balayer en lignes horizontales la surface d’un tambour ; chaque point touché par le laser allumé se charge d’électricité statique qui retient l’encre en poudre (le toner) ; ces particules se déposent sur la feuille de papier qui passe ensuite entre deux rouleaux chauffants chargés de fondre l’encre et de l’incruster dans le papier.
    Ces imprimantes sont rapides, offrent une très bonne qualité d’impression mais sont plus chères à l’achat
  • jet d’encre : la tête d’impression balaye la feuille de papier en lignes horizontales successives en vaporisant de minuscules gouttes d’encre ; cette encre est expulsée du réservoir par la chaleur produite par une résistance par l’intermédiaire de buses.
    Ces imprimantes offrent une bonne qualité d’impression mais sont peu rapides (ligne à ligne) ; bien qu’elles soient moins chères à l’achat, le coût d’une cartouche est supérieur au toner

Il faut donc choisir une imprimante en fonction de son utilisation. Son prix d’achat n’est pas le seul critère, il faut également regarder le prix des consommables.
Si vous voulez absolument de la couleur, pensez à opter pour des consommables en réservoirs séparés pour ne changer que la cartouche dont la couleur manque.

En résumé, pour un usage intensif, préférer une laser !

Quelques liens utiles …

Carte mère

Le squelette est une charpente osseuse, la carte mère est un support métallique sur lequel vont venir s’ajouter une multitude de composants.

La carte mère est en fait le circuit principal de l’ordinateur (grand circuit imprimé sur lequel sont montés un grand nombre de puces électroniques), de prises et d’autres circuits ; c’est sur elle que tous les autres composants vont venir se connecter (alimentation électrique, processeur, Bios, mémoire vive, cartes d’extension, disques, clavier, souris, modem, imprimante...) ; son rôle est fondamental, c’est le centre névralgique de l’ordinateur.

C’est elle qui permet aux différents composants du système de dialoguer entre eux. Son choix doit se faire en ayant à l’esprit l’utilisation visée sans oublier les possibilités d’évolution.

Elle est conçue pour recevoir un certain type de processeur et pour fonctionner à une fréquence déterminée. Son choix reste donc difficile et implique de nombreuses contraintes techniques sur le reste du matériel.

Au fur et à mesure des évolutions des ordinateurs, de plus en plus de fonctionnalités ont été intégrées à la carte mère, comme la gestion de la vidéo, du son ou des réseaux, permettant ainsi d’éviter l’adjonction de cartes d’extension fastidieuses à paramétrer.

Eléments principaux de la carte mère

  • le chipset (ou contrôleur) -> élément moteur de la carte mère, il gère les flux de données entre les différents organes de l’ordinateur que sont le processeur, la Ram, la carte graphique et éventuellement d’autres cartes. Il joue le rôle de chef d’orchestre de la carte mère. C’est lui qui déterminera les caractéristiques principales telles que la vitesse de bus processeur, le nombre de ports d’extension ou le type et la quantité de ports USB.
  • le bios -> programme contenu dans une petite mémoire de la carte mère qui s’exécute au démarrage de l’ordinateur.
  • les socles -> ce sont des connecteurs fixés à la carte mère, conçus de façon à correspondre exactement à une carte ou à une puce ; ils servent de montage au processeur, aux modules mémoire et aux cartes d’extension.
  • Les bus -> voie de circulation, d’échanges de données entre les différents composants de l’ordinateur
  • les connecteurs d’entrée/sortie (clavier, souris, ports série, ports parallèles, port USB, connexion Ethernet, Firewire etc …)..

Quelques liens utiles…..

Pour aller plus loin et bien choisir sa carte mère :

Petit tutoriel :

 Boitier

Les organes vitaux de l’être humain sont abrités par une enveloppe charnelle qui maintient une température constante. Le boitier va protéger les composants électroniques nécessaires au fonctionnement de l’ordinateur et le ventilateur se chargera de réguler la température qu’ils dégagent.

Définition

Le boîtier est un châssis métallique qui contient la majeure partie des circuits électroniques de l’ordinateur.
Un boitier est généralement vendu avec son bloc d’alimentation électrique et un transformateur puisque les composants électroniques ont rarement besoin de plus de 3 volts pour fonctionner (hormis bien sûr l’écran).

Il en existe quatre catégories : horizontal (Desktop), vertical (tour), mini PC (Barebone). Sa catégorie détermine en partie le nombre de cartes d’extension et de périphériques qui pourront être rajoutés. Elle conditionne aussi le choix de la carte mère.

Généralement, la face avant présente les baies, la face arrière reçoit l’alimentation (male : prise murale, femelle : alternatif pour écran), le ventilateur, les sorties série, les sorties parallèle, etc..
Il ne faut jamais oublier que l’emplacement du ventilateur dans un boitier est étudié pour une position définie et qu’une mauvaise disposition pourrait provoquer l’effet inverse. Il est par exemple vivement déconseillé de mettre en position verticale un boitier desktop ou de mettre à l’horizontal une tour.

Lequel choisir ?

Le choix de la taille du boitier fixe dépend de l’encombrement souhaité et du nombre de périphériques extérieurs que vous envisagez d’ajouter à votre configuration.

Cas particulier du portable :
On ne peut à proprement parler de boitier pour un ordinateur portable. En effet, il s’agit dans ce cas d’un conditionnement compact qu’il est vivement déconseillé d’ouvrir. Si votre ordinateur est un outil nomade, vous allez être tenté d’acquérir un ordinateur portable. Bien qu’il existe une large offre dans ce domaine, il n’en reste pas moins, qu’un tel outil reste fragile, chauffe rapidement et ne présente pas le même confort (visuel, puissance) qu’un ordinateur de bureau.
Le choix de ce type d’ordinateur est guidé par le coté « pratique ». Le but ne sera pas alors d’avoir un processeur surpuissant mais un outil léger, peu bruyant bénéficiant d’une autonomie suffisante.

Quelques liens utiles….

Quelques conseils pour bien choisir un boitier :

Petit tutoriel :

 Mémoires

Les organes vitaux de l’être humain sont abrités par une enveloppe charnelle qui maintient une température constante. Le boitier va protéger les composants électroniques nécessaires au fonctionnement de l’ordinateur et le ventilateur se chargera de réguler la température qu’ils dégagent.

Définition

Le boîtier est un châssis métallique qui contient la majeure partie des circuits électroniques de l’ordinateur.
Un boitier est généralement vendu avec son bloc d’alimentation électrique et un transformateur puisque les composants électroniques ont rarement besoin de plus de 3 volts pour fonctionner (hormis bien sûr l’écran).

Il en existe quatre catégories : horizontal (Desktop), vertical (tour), mini PC (Barebone). Sa catégorie détermine en partie le nombre de cartes d’extension et de périphériques qui pourront être rajoutés. Elle conditionne aussi le choix de la carte mère.

Généralement, la face avant présente les baies, la face arrière reçoit l’alimentation (male : prise murale, femelle : alternatif pour écran), le ventilateur, les sorties série, les sorties parallèle, etc..
Il ne faut jamais oublier que l’emplacement du ventilateur dans un boitier est étudié pour une position définie et qu’une mauvaise disposition pourrait provoquer l’effet inverse. Il est par exemple vivement déconseillé de mettre en position verticale un boitier desktop ou de mettre à l’horizontal une tour.

Lequel choisir ?

Le choix de la taille du boitier fixe dépend de l’encombrement souhaité et du nombre de périphériques extérieurs que vous envisagez d’ajouter à votre configuration.

Cas particulier du portable :
On ne peut à proprement parler de boitier pour un ordinateur portable. En effet, il s’agit dans ce cas d’un conditionnement compact qu’il est vivement déconseillé d’ouvrir. Si votre ordinateur est un outil nomade, vous allez être tenté d’acquérir un ordinateur portable. Bien qu’il existe une large offre dans ce domaine, il n’en reste pas moins, qu’un tel outil reste fragile, chauffe rapidement et ne présente pas le même confort (visuel, puissance) qu’un ordinateur de bureau.
Le choix de ce type d’ordinateur est guidé par le coté « pratique ». Le but ne sera pas alors d’avoir un processeur surpuissant mais un outil léger, peu bruyant bénéficiant d’une autonomie suffisante.

Quelques liens utiles….

Quelques conseils pour bien choisir un boitier :

Petit tutoriel :

 Micro processeur

Le microprocesseur peut être comparé au cerveau humain car il est l’élément qui contrôle les flux de données, les commandes et les interruptions sur la carte mère et avec les périphériques. C’est lui qui exécute toutes les manipulations nécessaires. Il est fixé sur la carte mère. Le microprocesseur est le moteur de l’ordinateur et les performances de la machine dépendent en grande partie de sa cylindrée. Il effectue les calculs et transmet les données.

Lorsque l’on choisit un microprocesseur, il faut vérifier au préalable qu’il pourra bien être reçu par la carte mère. En effet, la carte mère dispose d’un socle pour recevoir le processeur (socket) et cet emplacement n’accepte qu’une catégorie de processeurs. Il faut s’assurer également que le processeur est compatible avec le contrôleur de la carte mère (chipset).

Pour obtenir des performances optimales, il ne faut pas dissocier le processeur de la mémoire vive car plus l’espace de travail du processeur est vaste, plus la tâche du processeur est aisée.

Il existe actuellement deux grands fabricants :

  • AMD (Sempron, Athlon XP, Opteron, Phenom)
  • Intel (Céléron D, Pentium D, Core 2 Duo, Core 2 Quad Core 2 Duo Extreme)

Un processeur se caractérise par :

  • sa fréquence d’horloge (nombre de cycles d’horloge par seconde) : le Core 2 Duo d’Intel atteint 3 GHz (3 milliards d’opérations à la seconde).
  • sa largeur de bus

Le processeur (CPU) est enfermé dans un boîtier de céramique ou de résine, le boîtier est scellé.

C’est une pastille de silicium sur laquelle sont gravés de minuscules circuits (le Core 2 Duo 4 Mo intègre pas moins de 291 millions de transistors).

Quelques liens utiles….

Pour bien choisir :

Petit tutoriel :

 Mémoires

La mémoire vive de l’ordinateur (ou mémoire temporaire ou RAM) est l’espace de travail du processeur. C’est l’endroit où l’ordinateur stocke temporairement les données et programmes qu’il est en train d’utiliser. C’est donc un élément capital dans la détermination de la puissance de la machine.

Pour comprendre son rôle, imaginez deux situations pour travailler :

  • Première situation : vous disposez d’un grand bureau aménagé avec de multiples armoires et étagères ; il vous est ainsi aisé de classer, de ranger vos dossiers (une armoire pour les cours, une étagère pour les dossiers concernant les comptes courants de la famille, une autre étagère pour la gestion du club sportif dont vous êtes le président…
  • Deuxième situation : pas de bureau mais les mêmes dossiers à gérer et juste une toute petite étagère pour les entreposer en vrac…

Il est facile de comprendre quelle situation vous permettra de retrouver dans les meilleurs délais, le dossier dont vous avez besoin le moment voulu.

De même, plus la capacité de la mémoire vive est grande, plus le processeur travaille aisément et rapidement.

La taille de la mémoire dépend donc des tâches que vous souhaitez faire accomplir au processeur.

Tailles standard actuelles :

  • 512 Mo seront suffisants pour un vieil ordinateur où une application tourne à la fois
  • 1 Go conviendra à un utilisateur moyen qui pourra même jouer sans être obligé de fermer les applications bureautiques
  • 2 Go seront nécessaires pour le travail sur plusieurs applications simultanées avec les logiciels récents à condition d’avoir le processeur correspondant.

La mémoire vive se présente sous forme de barrettes additionnelles qui viennent « se clipser » sur la carte mère dans les supports (slots) prévus à cet effet. Outre la capacité de la mémoire, il existe une autre caractéristique, sa technologie, qui détermine sa vitesse d’échanges avec le processeur (SDRA, DDR-SDRAM, DDR2).

Quelques liens utiles ….

Liens techniques :

Petit tutoriel :

 Bit ou binary digit

Le bit est l’unité de mesure en informatique. Il correspond au plus petit élément interprétable par l’ordinateur. C’est en fait un chiffre binaire correspondant à la valeur 0 ou 1.

Ces deux états possibles ne permettent pas de traduire l’ensemble des caractères que nous utilisons. Il faut donc pour cela utiliser des combinaisons de bits. Il s’avère que 8 bits (donc 28 combinaisons différentes) suffisent à représenter l’ensemble de nos chiffres, lettres et caractères de ponctuation...

de 00000000 à 11111111 : 256 combinaisons différentes

Chaque caractère sera donc traduit par une succession de 8 éléments binaires appelé octet (ou byte).

Dès lors, toutes les unités de mesures informatiques seront des multiples de l’octet :

  • Kilo Octet (Ko) = environ 1000 octets (en fait 1024 octets car 210)
  • Méga Octet (Mo) = environ 1000 Ko (un million de caractères)
  • Giga Octet (Go) = environ 1000 Mo (un milliard de caractères)
  • Téra Octet (To) = environ 1000 Go (mille milliards de caractères).

Quelques liens utiles ……

Dictionnaire :

Petit tutoriel :

Explications techniques supplémentaires :

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