Les nouvelles théories du commerce international

, par Milan Vujisic

Dans les années 80, l’approche jusqu’alors dominante est supplantée par « une nouvelle théorie du commerce international » dont l’initiateur le plus connu est Paul Krugman. La nouveauté est au demeurant très relative, dans la mesure où cette « nouvelle théorie » prolonge en réalité des travaux plus anciens qui avaient aussi pour objectif d’expliquer les caractéristiques du commerce international contemporain :

  • le commerce international se développe le plus entre des nations de niveau de développement comparable, aux dotations factorielles identiques (l’Allemagne est le premier partenaire économique de la France).
  • les échanges intrabranches occupent une part significative dans le commerce mondial.
  • la théorie traditionnelle ne laisse aucune place aux firmes multinationales et au commerce intrafirme, puisque selon elle ce sont les nations et elles seules qui échangent. Alors que dans la réalité, les échanges entre des filiales de FMN implantées dans les différents pays, qui échappent aux « logiques du marché », représentent plus du tiers du commerce mondial de marchandises

Les nouvelles théories se présentent donc comme concurrentes de la théorie traditionnelle et prétendent expliquer ces faits, en utilisant de nouveaux outils. Alors que la théorie HOS par exemple s’inscrit dans le cadre de la concurrence pure et parfaite, les nouvelles théories privilégient la concurrence imparfaite. Les références aux rendements croissants et à la différenciation du produit deviennent alors une évidence pour les nouvelles théories.

I) Echanges internationaux et rendements croissants

1) Les différents cas de rendements d’échelle croissants.

Les économies d’échelle internes.
Les économies d’échelle externes.

2) Les rendements croissants : une explication « endogène » de la spécialisation internationale.

3) Les économies d’échelle externes et les échanges internationaux

4) Les économies d’échelle internes et les échanges internationaux.

II) La différenciation des produits

III) Les stratégies des acteurs du commerce international

1) Les stratégies de firmes.

2) Le rôle des politiques publiques.

Conclusion

Bibliographie indicative :


I) Echanges internationaux et rendements croissants

1) Les différents cas de rendements d’échelle croissants.

Les économies d’échelle internes.
Les économies d’échelle externes.

2) Les rendements croissants : une explication « endogène » de la spécialisation internationale.

3) Les économies d’échelle externes et les échanges internationaux

4) Les économies d’échelle internes et les échanges internationaux.

II) La différenciation des produits

III) Les stratégies des acteurs du commerce international

1) Les stratégies de firmes.

2) Le rôle des politiques publiques.

Conclusion

Bibliographie indicative :


I) Echanges internationaux et rendements croissants

1) Les différents cas de rendements d’échelle croissants.

Les économies d’échelle internes.
Les économies d’échelle externes.

2) Les rendements croissants : une explication « endogène » de la spécialisation internationale.

3) Les économies d’échelle externes et les échanges internationaux

4) Les économies d’échelle internes et les échanges internationaux.

II) La différenciation des produits

III) Les stratégies des acteurs du commerce international

1) Les stratégies de firmes.

2) Le rôle des politiques publiques.

Conclusion

Bibliographie indicative :

Pour télécharger l’intégralité de cet article au format pdf, cliquer sur le lien ci-dessous :

Partager

Imprimer cette page (impression du contenu de la page)